Elle vise à aider les organisations à améliorer leur performance énergétique, à réduire leur consommation d’énergie et leurs émissions de gaz à effet de serre, et à réaliser des économies.

Selon l’Agence internationale de l’énergie, cette norme pourrait avoir un impact sur 60 % de la demande d’énergie mondiale.

La norme ISO 50001 s’adresse à toutes les organisations, quel que soit leur secteur d’activité, leur taille ou leur emplacement géographique. Elle est conçue pour être applicable à la fois aux entreprises privées et aux organisations publiques.

La norme ISO 50001 est conçue pour être flexible et adaptable aux besoins spécifiques de chaque organisation. Elle peut être mise en œuvre progressivement, en commençant par des domaines ou des processus spécifiques, puis étendue à l’ensemble de l’organisation au fil du temps.

Dans cet article, nous allons voir les principaux aspects de cette norme : ses objectifs, sa portée… mais aussi tous les avantages que votre organisation peut trouver dans cette certification.

Les principaux aspects de la norme ISO 50001

L’ISO 50001 n’est pas qu’une démarche de normalisation, elle apporte des avantages certains aux organisations qui s’y engagent.

Objectifs : L’objectif principal de l’ISO 50001 est de fournir un cadre systématique pour les organisations afin de développer une approche proactive de la gestion de l’énergie. Elle vise à les aider à identifier les opportunités d’économies d’énergie, à mettre en œuvre des actions pour les exploiter, à mesurer les résultats et à améliorer continuellement leur performance énergétique.

Portée : La norme ISO 50001 s’adresse à toutes les organisations, quel que soit leur secteur d’activité, leur taille ou leur emplacement géographique. Elle est conçue pour être applicable à la fois aux entreprises privées et aux organisations publiques. Il est important de noter que la norme ISO 50001 est conçue pour être flexible et adaptable aux besoins spécifiques de chaque organisation. Elle peut être mise en œuvre progressivement, en commençant par des domaines ou des processus spécifiques, puis étendue à l’ensemble de l’organisation au fil du temps.

Structure de la norme : L’ISO 50001 suit une structure similaire à celle des autres normes de systèmes de management, basée sur le Plan-Do-Check-Act (PDCA). Cela signifie qu’elle suit un cycle d’amélioration continue comprenant les étapes de la planification, de la mise en œuvre, de la vérification et de l’action corrective.

Principales exigences : La norme exige que les organisations établissent une politique énergétique, identifient leurs dépenses énergétiques significatives, définissent des objectifs de performance énergétique, mettent en place un plan d’action pour les atteindre, et implantent des processus de mesure, d’analyse et d’amélioration continue.

Certification : Les organisations peuvent choisir de faire certifier leur système de management de l’énergie selon l’ISO 50001 par des organismes de certification indépendants. Cela implique une évaluation de la conformité aux exigences de la norme et une vérification périodique pour maintenir la certification.

Périodicité : La durée de validité de la certification est de 3 ans sous conditions de réalisation des audits de surveillance annuels.  

L’ISO 50001 n’est pas qu’une démarche de normalisation, elle apporte des avantages certains aux organisations qui s’y engagent.

Et ses principaux avantages

 Réduction des coûts énergétiques : L’implémentation d’un système de gestion de l’énergie conforme à la norme ISO 50001 permet d’identifier les sources de gaspillage d’énergie, de mettre en œuvre des mesures d’efficacité énergétique et de surveiller les performances énergétiques. Cela peut entraîner des économies significatives sur les coûts énergétiques à long terme.

Amélioration de la performance énergétique : La norme ISO 50001 encourage les organisations à établir des objectifs de performance énergétique, à mettre en place des plans d’action pour les atteindre et à suivre régulièrement leurs progrès. Cela permet d’améliorer l’efficacité énergétique globale de l’organisation et de réduire son empreinte carbone.

Conformité réglementaire : Dans de nombreux pays, il existe des réglementations relatives à l’efficacité énergétique et à la réduction des émissions de gaz à effet de serre. La certification ISO 50001 peut aider une organisation à démontrer sa conformité à ces réglementations et à éviter les sanctions potentielles liées au non-respect des exigences légales.

Avantage concurrentiel : De plus en plus de consommateurs et de clients se soucient de l’impact environnemental des organisations avec lesquelles ils font affaire. La certification ISO 50001 peut être utilisée comme un élément de différenciation pour démontrer l’engagement d’une organisation envers la durabilité et l’efficacité énergétique. Cela peut améliorer la réputation de l’entreprise, renforcer sa marque et lui donner un avantage concurrentiel sur le marché.

Engagement des parties prenantes : La certification ISO 50001 témoigne de l’engagement d’une organisation envers la gestion de l’énergie et la réduction de son impact environnemental. Cela peut favoriser une meilleure collaboration avec les parties prenantes, y compris les employés, les clients, les fournisseurs et les autorités réglementaires

Il est important de noter que l’ISO 50001 a été conçue pour être compatible avec d’autres normes de systèmes de management, telles que l’ISO 9001 (management de la qualité) et l’ISO 14001 (management environnemental). Elle peut être intégrée à ces systèmes existants pour une approche globale de la gestion de la qualité, de l’environnement et de l’énergie.

Eegle propose une démarche innovante pour aborder la certification ISO 50001

Nous avons développé un outil de suivi des consommations énergétiques : Sobrizh. 

Sobrizh a été pensé pour répondre aux besoins des entreprises, des collectivités quelle que soit la taille de votre parc. Avec son interface ergonomique et simplifié, l’application s’adresse à tous les profils d’utilisateurs, que vous soyez un expert de la donnée, ou bien néophyte, l’application saura répondre à vos besoins quotidiens et vous accompagnera dans ce processus de conformation à la norme ISO 50001.

Grâce à cet outil, vous pouvez suivre au quotidien vos consommations énergétiques : vous restez toujours connecté à vos données énergétiques, et continuez de vous conformer à la norme ISO 50001 tout en réalisant des actions correctives et en mesurant leurs impacts.

Avec Sobrizh,vous bénéficiez aussi d’un accompagnement personnalisé pour toujours mieux appréhender vos données. 

Pour plus d’informations, contactez nous à : contact@eegle.io

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Le trophée Crisalide Eco-Activités, qu’est ce que c’est ?

Lancé par Bretagne Compétitivité, le trophée Crisalide Eco-Activité a accompagné plus de 959 projets éco-innovants depuis sa création en 2008. Le projet récompense les entreprises du Grand Ouest engagées dans la transition énergétique et écologique. Pour participer, il faut répondre à au moins un de ces critères : concevoir des offres allégées en ressources naturelles, réussir la transition énergétique, cohabiter avec le capital naturel, imaginer des solutions sans impact sur la santé, jouer le marché des consom’acteurs, construire la résilience écologique. 

Chaque année, ce ne sont pas moins de 60 projets qui sont présentés au jurys, répartis dans 6 catégories différentes :Transition énergétique,  Écologie industrielle et RSE, Économie circulaire et matériaux bio-sourcés, Économie circulaire, seconde vie et retrofit, Santés et Environnements et Biodiversité et Territoires durables.

Les trophées Crisalide Eco-Activités récompensent donc un lauréat dans chacune de ces catégories.

La 15ème cérémonie des Trophées Crisalide Éco-Activités

Cette 15ème édition des Trophées avait  donc lieu au Palais des Congrès de Lorient, à l’occasion de l’Open Transition énergétique et écologique.

Après avoir présenté leurs projets au jury quelques semaines auparavant, les entreprises étaient conviées le 8 juin 2023 à la remise des prix du trophée.

Les lauréats par catégorie sont : Prix de la Transition : Windcoop, Prix de l’Écologie industrielle et RSE : Bluemarket, Prix de l’Économie circulaire et matériaux biosourcés : Bini, Prix de l’Économie circulaire, seconde vie et retrofit: Sarc, Prix Santé et environnement : Les bottes d’Anémone et donc, le prix de la Biodiversité et des territoires durables a été remis à Eegle, et à son CEO Laurent Lebreton, pour notre application en faveur de la transition énergétique des territoires : Sobrizh.

Découvrez la vidéo de la remise des prix.

EEGLE, prix de la Biodiviersité et des Territoires durables

EEGLE et son application Sobrizh ont donc été récompensés lors de cette cérémonie du 8 juin. Le trophée à été remis à Laurent Le Breton par Emmanuel Boudigou, Responsable Etudes Conseil – Département Entreprises au Crédit Mutuel de Bretagne.

Nous sommes reconnaissants  que notre engagement quotidien au service des territoires et de la transition énergétique ait été reconnu par ce trophée. Nous tenions une nouvelle fois à remercier Bretagne Compétitivité pour son accompagnement tout au long du parcours de sélection et pour l’organisation de cette cérémonie. Nous voulions aussi féliciter chaque entreprise lauréate du concours.

Découvrez l’interview de notre CEO et fondateur Laurent Le Breton à la suite de la remise des prix.

Pour en savoir plus sur notre application lauréate Sobrizh, c’est juste la !

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La sobriété énergétique est aujourd’hui une nécessité pour lutter contre le changement climatique et réduire la consommation énergétique.

On oppose souvent cette notion avec celle d’efficacité énergétique, pourtant, elles peuvent tout à fait fonctionner de pair : ces deux approches visent à réduire la consommation d’énergie, tout en se concentrant sur des aspects différents.

La sobriété énergétique

La sobriété énergétique, comme nous l’avons déjà vu sur notre blog, est une démarche qui consiste à réduire la consommation d’énergie en diminuant les besoins en énergie des bâtiments, plutôt qu’en cherchant à augmenter l’efficacité énergétique des équipements et des systèmes. Elle permet de limiter l’impact environnemental des bâtiments tout en changeant les habitudes de consommation, et en réduisant les usages énergétiques.

La sobriété énergétique s’appuie sur plusieurs idées, voici quelques exemples pratiques à mettre en place au sein de votre organisation :

1. L’optimisation de l’utilisation des espaces : en limitant la surface des bâtiments, on limite les besoins en chauffage et en éclairage. Les espaces de vie peuvent être optimisés pour limiter les surfaces inutiles.
2. Sensibilisation des employés : Mettre en place des programmes de sensibilisation pour encourager les employés à adopter des comportements écoénergétiques, comme l’extinction des lumières inutiles, l’utilisation efficace des équipements…
3. Le télétravail : Le télétravail peut jouer un rôle important dans la promotion de la sobriété énergétique au sein des entreprises.  Réduction des déplacements, économie d’énergie dans les locaux, flexibilité énergétique…
4. Suivre et évaluer les progrès : Mettez en place un système de suivi pour mesurer régulièrement votre consommation d’énergie et évaluer les progrès réalisés. Identifiez les domaines où des ajustements sont nécessaires et apportez les modifications nécessaires à votre plan d’action.

En appliquant ces principes, il est possible de changer nos usages, nos habitudes facilement afin d’atteindre une consommation énergétique plus sobre.

L’efficacité énergétique

L’efficacité énergétique est un ensemble de solutions techniques et d’actions qui permettent de réduire la consommation d’énergie d’un bâtiment tout en préservant ou améliorant le confort de ses occupants.

Voici plusieurs exemples d’actions favorisant l’efficacité énergétiques :

1. L’isolation thermique : une bonne isolation du bâtiment permet de limiter les déperditions de chaleur en hiver et de fraîcheur en été. Les murs, le toit, les fenêtres et les portes peuvent être renforcés pour limiter les échanges thermiques avec l’extérieur.
2. Des équipements économes en énergie : les équipements électroménagers, l’éclairage et les appareils de chauffage peuvent être remplacés par des modèles plus économes en énergie. Les ampoules LED consomment 4 à 5 fois moins d’énergie que les ampoules à incandescence, et les appareils de chauffage à condensation sont plus performants que les anciens modèles.
3. Une régulation du chauffage : une bonne régulation du chauffage permet de maintenir une température constante dans le bâtiment sans sur-consommer d’énergie. L’utilisation de thermostats programmables permet de réguler la température en fonction des heures d’occupation du bâtiment.

Ces différentes actions permettent donc de réduire significativement la consommation d’énergie d’un bâtiment et d’améliorer son bilan environnemental. L’efficacité énergétique permet évidemment de réaliser des économies sur les factures d’énergie.

Attention cependant à ne pas vouloir l’efficacité à tout prix, en effet, il faut réfléchir à chaque changement de matériel, pour estimer si votre gain d’énergie supposé pourra pallier le coût de production de ce dit-matériel. On appelle cela l’effet rebond.

L’ennemi des économie d’énergie : l’effet  rebond énergétique

L’effet rebond énergétique se produit lorsque des gains d’efficacité énergétique dans un système ou une entreprise sont partiellement ou totalement absorbés par une augmentation de la consommation d’énergie.

Supposons qu’une entreprise mette en œuvre des mesures d’efficacité énergétique pour réduire sa consommation d’énergie. Cela pourrait inclure l’installation de systèmes d’éclairage plus efficaces, l’isolation des bâtiments pour réduire les pertes thermiques, ou l’adoption de machines plus économes en énergie.

Dans un premier temps, ces mesures permettront probablement à l’entreprise de réduire sa consommation d’énergie, ce qui peut entraîner des économies financières et des avantages environnementaux. Cependant, l’effet rebond se produit lorsque l’entreprise utilise les économies réalisées pour augmenter son utilisation globale d’énergie ou étendre ses activités. Par exemple, l’entreprise qui vient de passer tout son éclairage aux LEDS peut prêter moins d’attention à ces heures d’éclairages, ce qui entraînera donc, un effet rebond.

Sobriété énergétique et efficacité énergétique, une stratégie gagnante

La sobriété énergétique consiste donc à réduire la consommation d’énergie en limitant l’usage de certains équipements, en adoptant des comportements plus économes, ou encore en optimisant l’utilisation de ressources naturelles.  L’efficacité énergétique, quant à elle, vise à réduire la consommation d’énergie en améliorant les performances des équipements ou des bâtiments. 

Ces deux approches sont donc complémentaires et permettent de réduire conjointement la consommation d’énergie.

Il est donc important de sensibiliser les consommateurs à la nécessité de ces deux approches, et de les encourager à adopter des comportements plus économes en énergie, tout en optant pour des équipements plus performants. Les avantages sont multiples : réduction de la facture énergétique, amélioration du confort thermique, réduction des émissions de gaz à effet de serre, etc.

Sobriété ou efficacité énergétique, pas besoin de choisir, engagez vous résolument dans la transition environnementale en combinant ces deux approches. SOBRIZH vous accompagnera tout au long de ce processus pour mesurer la réalité de vos efforts

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Seulement il est parfois compliqué d’analyser finement les consommations d’un grand bâtiment (immeuble de bureaux, école…) quand un seul compteur d’énergie sert à son alimentation. Il peut être utile d’utiliser des sous-compteurs, ou des capteurs de données IoT (Internet of things). Attention cependant à ne pas s’y perdre !

Décomposer pour mieux analyser

Pour mieux comprendre les consommations énergétiques de certains bâtiments ou équipements, il est donc souvent nécessaire de les décomposer en postes spécifiques. Cela permet d’identifier les domaines où des économies d’énergie peuvent être réalisées et de mettre en place des mesures d’efficacité énergétique plus ciblées.

Si vous voulez analyser les consommations d’énergie d’un bâtiment, vous pouvez décomposer les consommations en postes tels que l’éclairage, le chauffage, la climatisation, les équipements de bureau… Cela vous permettra de comprendre quelle partie du bâtiment est responsable de la majeure partie de la consommation d’énergie et de cibler vos efforts d’optimisation sur ces postes.

En croisant les données de consommation avec d’autres informations, telles que les données météorologiques ou les heures d’occupation du bâtiment, vous pouvez également obtenir des informations plus précises sur les moments où l’énergie est consommée et sur les facteurs qui contribuent à cette consommation. 

Pour pouvoir décomposer et analyser ces données, il vous faudra passer par l’installation de capteurs de données dit IoT : Internet of Things, les objets connectés.

Décomposer nos données énergétiques avec les capteurs de données

Pour un grand bâtiment avec plusieurs activités, il est donc souvent nécessaire d’avoir des capteurs IoT pour suivre les consommations électriques et de gaz de chaque activité ou équipement du bâtiment. Cela permet de mesurer précisément les consommations d’énergie de chaque équipement et de détecter les problèmes éventuels.

Les capteurs IoT  jouent donc un rôle important dans la gestion de l’énergie en permettant la collecte de données en temps réel sur la consommation d’énergie des bâtiments, des équipements. Les capteurs de température, de lumière et de mouvement sont quelques-uns des capteurs IoT les plus couramment utilisés dans la gestion de l’énergie. 

Les capteurs de température peuvent contrôler les températures dans les bâtiments et les équipements pour s’assurer qu’ils sont exploités de manière optimale et pour éviter les gaspillages d’énergie. Les capteurs de lumière peuvent être utilisés pour réguler l’éclairage dans les bâtiments en fonction des niveaux de lumière naturelle, tandis que les capteurs de mouvement permettent de détecter la présence humaine et réguler l’éclairage et le chauffage en conséquence.

Les capteurs IoT peuvent également être utilisés pour surveiller la production d’énergie à partir de sources renouvelables telles que les panneaux solaires et les éoliennes. Ils servent aussi à mesurer la production d’énergie et à envoyer des données en temps réel aux systèmes de gestion de l’énergie pour optimiser la production et la distribution d’énergie.

Enfin, ils peuvent être utilisés pour monitorer la qualité de l’air, la température et l’humidité dans les usines et les équipements industriels pour s’assurer qu’ils fonctionnent de manière optimale et pour éviter les pertes d’énergie.

Notons que ces capteurs peuvent aussi fonctionner en corrélation avec une sonde de présence : en plus de l’allumage et de l’extinction automatiques des lumières et des appareils électroniques, les sondes de présence peuvent être utilisées pour détecter d’éventuelles anomalies sur nos relevés de consommations. (Un pic de consommation, alors qu’aucune personne n’est présente sur les lieux…).

Il ne faut par contre bien évidemment pas oublier que lorsque l’on est dans une démarche de réduction de ses consommations, on ne veut pas produire plus de données que nécessaire  ! Il est donc tout à fait possible de placer un capteur sur un équipement, d’en faire son analyse pendant une période donnée, puis d’utiliser ce capteur sur un autre équipement. On évite ainsi une surproduction de données, et un coût d’installation pour des capteurs supplémentaires : le début des économies commence avant même l’analyse de vos consommations.

Sobrizh, une interface finale

Nous venons de le voir, il existe de nombreuses données énergétiques qui proviennent de différents capteurs et de différentes sources. Lorsque l’on gère et opère au quotidien un patrimoine d’actifs, il est facile de se perdre devant la quantité de données générées, et de se laisser déborder par la multiplicité des applications qui fournissent ces données. 

Heureusement, il existe des solutions qui permettent de réunir toutes ces données dans un seul espace, simple, facile à utiliser, et qui vous permettront de prendre le contrôle de vos consommations que vous soyez novice ou expert de la donnée.

Chez eegle, nous avons compris que la multiplicité des sources de données d’énergie, et des applications dédiées pouvaient être un frein à la compréhension de vos consommations énergétiques, et donc par conséquent, un frein à vos économies d’énergie. 

C’est pourquoi nous avons développé Sobrizh. Sobrizh est une application de suivi de vos consommations énergétiques. Sobrizh accueille dans son interface les données de vos fournisseurs d’énergie. Mais l’application peut aussi servir d’interface à toutes vos données provenant de vos différents capteurs et applications (GTB) et les associer à votre patrimoine grâce notamment à sa représentation cartographique. 

Sobrizh est l’interface finale de vos données énergétiques. L’application vous propose la version la plus simple, lisible et articulée de vos données pour vous permettre de réaliser des économies d’énergie, de mettre en place des éco-gestes dès l’installation de l’application. Vous avez ainsi accès à toutes vos données énergétiques sur un seul écran.

Découvrez l’application en 60 secondes dans cette vidéo et rejoignez nous au plus vite : contact@eegle.io

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Après 3 ans de travaux, de réflexions et de développement, c’est enfin le lancement du portail de partage de données de la métropole de Rennes : le projet RUDI.

En tant que gagnant de l’appel à projet , EEGLE sera présent sur son stand lors de l’événement.

Cet évènement se déroulera de 14 heures à 21 heures, et verra se mélanger moments d’échanges, de partages, de restitutions et de conférences autour de RUDI et de la donnée territoriale.

Le projet RUDI, qu’est-ce que c’est ?

RUDI avait pour objectif de co-construire en 3 ans un portail métropolitain pour partager les données territoriales. Ce portail sera à destination de tous les acteurs de la donnée, producteurs ou consommateurs. Le projet est porté par Rennes Métropole et financé par l’Union européenne avec le programme Urban Innovative Actions. 

La collaboration est au cœur du projet puisque 12 partenaires s’y sont associés. On y retrouve des producteurs de données : Enedis, Keolis, Ouest France ou encore GRDF, des associations spécialisées dans les usages du digital ( Fing, Tiriad, Codev Rennes et Ouishare) et aussi des laboratoires de recherche Irisa, LTSI ou Lego.  

La place d’EEGLE dans le projet RUDI

Dans le cadre de cette réflexion autour du partage de la donnée, le Projet RUDI à lancé un appel à projet au mois de novembre 2020. 32 projets ont été présentés pour seulement 6 retenus. Parmi ces 6 projets sélectionnés, se trouve Héol, le projet porté par EEGLE. 

Héol a pour ambition d’accompagner la transition énergétique en s’appuyant notamment sur les données énergétiques disponibles pour fournir aux acteurs des territoires les emplacements des sites les plus favorables à l’installation de panneaux solaires en toitures, sur les ombrières… 

Grâce à RUDI et ses partenaires qui jouent le rôle de tiers de confiance, EEGLE peut avoir accès beaucoup plus rapidement à des données au-delà de celles de l’Open-data et ainsi construire son projet en éliminant ces contraintes d’autorisation et de contrôle de la donnée. 

Le projet sera ensuite mis à disposition sur le portail RUDI et sera accessible à tous. Par exemple :  les collectivités pourront appréhender la meilleure manière d’équiper leurs territoires en installations solaires, et les Conseillers en Energie Partagée pourront  assister les citoyens dans leurs démarches d’installation de projet photovoltaïque.

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Dans cet article, nous allons définir le décret tertiaire en détail. Ensuite nous allons voir qui sont les personnes concernées. Enfin, nous allons vous proposer notre solution pour vous y conformer efficacement.

Qu’est -ce que le tertiaire ?

Le secteur tertiaire recouvre un large champ d’activités : l’administration, le commerce, mais aussi les activités financières et immobilières, les transports, les services (aux particuliers comme aux entreprises), l’éducation, la santé…

Et le décret tertiaire ?

L’objectif du décret tertiaire est d’améliorer l’aménagement du territoire et de réduire la consommation énergétique des parcs immobiliers tertiaires français. Les objectifs  de réduction des consommations annoncés par la loi sont : 

– une réduction de 40% en 2030

– 50% en 2040

– puis 60% en 2050

Pour calculer ces réductions, il faudra se baser sur une année de référence (entre 2010 et 2019) choisie par les propriétaires. Le décret tertiaire concerne les propriétaires ou locataires de bâtiments à usage tertiaire, privés comme publics, avec une surface au sol de plus de 1000m². 

Ces objectifs sont adaptables notamment selon certaines contraintes techniques, patrimoniales ou architecturales. À noter aussi que les recharges des véhicules électriques et hybrides sont déduites des consommations. 

Pour recueillir et suivre les données de consommation des assujettis, une plateforme créée par l’ADEME nommée OPERAT a été mise en ligne. Cette plateforme permet aussi de faire le suivi des sanctions auxquelles les propriétaires/locataires s’exposent s’ ils ne conformeraient pas au décret.

À qui s’adresse le décret tertiaire ?

Comme nous l’avons vu, il s’adresse aux propriétaires et locataires de bâtiments tertiaires :  bâtiments ou locaux d’activité tertiaire et dont la surface est supérieure ou égale à 1000m2. La responsabilité de chacun est définie lors de la signature d’un bail.

Sur un site de plusieurs bâtiments ou dans un local hébergeant plusieurs entreprises, la superficie est cumulative. Un bâtiment en construction, un lieux de culte ou bâtiment de la défense ou de la sécurité civile et intérieure sera exempté de se conformer au décret tertiaire.

Comment réussir à atteindre les objectifs du décret tertiaire ?

Le décret tertiaire fixe donc des objectifs de diminution des consommations chaque décennie jusqu’à 2050. Il ne définit par contre aucun moyen de s’y conformer. Chaque propriétaire/locataire peut décider lui-même des actions à mettre en place sur son site pour atteindre les objectifs.

Il existe pourtant de nombreux moyens/actions qui pourront permettre à une entreprise de s’y conformer et réduire leurs consommations énergétiques. Il est en premier lieu, nécessaire de sensibiliser chaque occupant du bâtiment aux éco-gestes. Cela passe par une communication forte et une responsabilisation de chacun. Installer des équipements performants est aussi une des premières mesures à envisager. 

Aussi, une rénovation de certaines parties du bâtiment peut-être envisagée, en effet, une bonne isolation peut signifier plus de 30% de gain d’énergie selon l’ADEME. 

Pour pouvoir suivre les actions mises en place facilement et au jour le jour, il est nécessaire de s’équiper d’une application de suivi des consommations énergétiques.

SOBRIZH, votre compagnon vers la sobriété énergétique ?

Il est vrai que si le décret tertiaire est une obligation légale, il n’en est pas moins contraignant. Réussir à comparer ses consommations d’énergie sur des années en arrière, ou mesurer des actions mises en place à la lecture d’une facture, ce n’est pas ce qu’il y a de plus simple. Pour répondre à cette problématique, mais aussi, notamment, à celle du plan de sobriété énergétique annoncé par le gouvernement, nous avons développé une application de suivi des consommations énergétiques : Sobrizh.

Pour vous conformer et appréhender au mieux le décret tertiaire, Sobrizh vous permet de consolider vos consommations. L’application vous propose d’exporter vos données, agrégées pour pouvoir les importer facilement dans la plateforme OPERAT.

Avec l’application Sobrizh, la remontée de données vous est facilitée. Vous pourrez aussi suivre vos consommations au jour le jour. Ainsi, lors de la mise en place d’une action, vous pourrez constater son efficacité rapidement, et en mesurer l’impact immédiatement. La priorisation de ces actions deviendra une évidence.

Alors si vous souhaitez faciliter votre compréhension de vos consommations, et atteindre les objectifs du décret tertiaire plus facilement, l’application Sobrizh est faite pour vous. N’hésitez pas à nous contacter à : contact@eegle.io

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Cette journée sur le thème de l’innovation vertueuse verra se réunir 45 exposants, plus de 50 intervenants et pas moins de 1000 participants.

La 7ème édition de la Digital Tech Conférence

Les mots clefs de cette rencontre sont : INSPIRATION – CRÉATION – ACCÉLÉRATION. En effet, en créant des rencontres entre professionnels de milieux et d’univers différents, la Digital Tech Conférence se veut un endroit d’échange ou les projets et les collaborations naissent, évoluent et s’accélèrent. Le comité éditorial de l’événement regroupe académiques, chercheurs, acteurs publics et représentants du monde économique. Ils construisent activement un programme ciblant au plus juste les tendances innovantes de demain.

Ce sera la deuxième Digital Tech Conférence sur le thème de l’innovation vertueuse. Après une première édition axée sur l’échange et la réflexion, cet événement sera lui principalement orienté démonstrations.

EEGLE à la Digital Tech Conférence

Notre équipe viendra donc pour présenter notre nouvelle application de suivi des consommations énergétiques : Sobrizh. 

Selon l’ADEME, suivre finement ses consommations énergétiques permettrait de réaliser une économie de 10% sur sa facture. Avec l’application SOBRIZH, rien de plus simple ! Ses différents graphiques présents dans son panneau de contrôle offrent une compréhension simplifiée des consommations, accessible aux novices comme aux initiés.

Déjà déployé sur de nombreux territoires, Sobrizh est un outil qui accompagne ses utilisateurs dans leur démarche de sobriété énergétique. Dans le contexte actuel particulier que nous connaissons tous, c’est un outil qui permet à ses utilisateurs de réaliser des économies en analysant leurs consommations. Vous pouvez découvrir sur notre site les témoignages de nos premiers utilisateurs.

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Rennes Ville et Métropole a pour ambition de maîtriser le prix du foncier d’activité sur les zones d’activité #économique de son territoire, en lien avec son Schéma d’Aménagement Economique. 

Les équipes en charge de ce sujet souhaitaient s’équiper d’un outil de suivi opérationnel de la commercialisation des lots dans ces zones d’activité, à jour en permanence, simple à manipuler et mettant le territoire et ses communes au coeur de l’analyse. 

Avec l’Observatoire du foncier, l’analyse du rythme des commercialisations est accessible à plusieurs échelles, des grands secteurs de la métropole jusqu’aux zones d’activité elles-mêmes. De nombreux #indicateurs et filtres permettent de comprendre l’évolution de la demande sous différentes clefs de lecture telles que le prix du foncier, le nombre de ventes, la typologie des acheteurs, etc…

En tant qu’élu en charge des ZA (Zones d’activité) quels sont vos enjeux ?

Jean Marc LeGagneur : Les enjeux sont très importants car on est confronté aujourd’hui à plusieurs choses : notamment la croissance de la population de Rennes Métropole qui sera prochainement de 5000 logements en plus par an sur la métropole. 

Si on a pas de Zones d’activités économiques pour les accueillir on ne pourra pas évidemment assurer le bon équilibre, donc ça peut créer une crise économique importante au niveau de la population et du chômage. Ce n’est pas le but du tout de notre politique.

Et quels sont vos missions ?

Jean Marc LeGagneur : Aujourd’hui l’on est sur un travail d’identification, de repérage de l’ensemble des surfaces disponibles sur la métropole, à travers un diagnostic qui a été fait  à travers différents outils et puis donc on à également un projet de densifier : c’est le travail de l’AUDIAR  de voir quelles sont les entreprises qui ont de grands terrains et qui pourraient éventuellement s’en séparer d’une partie de façon à pouvoir densifier vers d’autres entreprises.  

Nous avons un autre projet également de requalification des Zones d’activités qui sont assez anciennes : pour les renouveler, et en même temps trouver de l’espace pour partager le terrain. C’est pas simple ! 

Puis en même temps on essaye de trouver de nouvelles formes d’urbanisation des surfaces d’activité économiques avec peut-être des entreprises sur plusieurs étages, plusieurs niveaux. Cela permettrait de densifier et de récupérer plus de places.  

Quelles sont les contraintes auxquelles vous faites face ?

Jean Marc LeGagneur : Il se trouve que l’on est confronté à la loi ZAN sur le sujet, c’est à dire qu’aujourd’hui on ne peut plus consommer ce que l’on consommait auparavant.  

Donc on doit réduire, diviser par deux ce que l’on consommait dans les 10 années précédentes. D’accord? Puis ce sera encore vrai en 2031.

En face de ça il y a forcément une demande !  Une demande des entreprises qui est importante, même si on sait qu’elle est endogène, je dirais à 80%,  C’est quand même une forte demande.

Pour conclure ?

Jean Marc LeGagneur :Donc tout ça, ça veut dire qu’on est vraiment confronté à une vraie équation avec plein d’inconnus qu’il faudrait résoudre tout en sachant que l’on sera limités en termes de consommations d’hectares. 

Mais il faut penser que ce ne sera plus comme avant. L’entreprise avec son hectare, et ces 5000m2, 10 000m2, je dirais de surface et le reste en terres végétales, c’est fini ca ! Aujourd’hui il faut vraiment densifier l’entreprise au maximum au sein de son espace.

En tant que chargé de mission foncier économique, quels sont vos besoins ?

Thomas Pouedras : Au regard des enjeux de notre territoire, il apparaît très important de pouvoir suivre l’état d’avancement de la commercialisation des zones d’activité, de pouvoir vraiment mesurer le rythme de leur commercialisation et puis de mesurer les surfaces encore disponibles dans ces zones d’activités.

Qui sont les utilisateurs de l’Observatoire du Foncier ?

Thomas Pouedras : C’est un outil qui à vocation à être pris en main par les services de la métropole, par les services des concessionnaires et puis aussi par certaines communes qui ont encore des ZA sous leurs maîtrises d’ouvrage.

Quelles utilisations faites vous de l’Observatoire du Foncier ?

Thomas Pouedras : C’est un outil qui est du coup utilisé très régulièrement. On l’alimente au fil de l’eau. c’est à dire dès qu’une session de foncier est réalisée 

Quand une session est réalisée, la personne concernée va saisir la session, renseigner la parcelle qui est concernée par la session, son prix, sa surface,  la construction qui est prévue également sur cette même surface, cette même parcelle. Et puis au besoin on va aller dans l’observatoire pour piocher toutes les informations qu’on va avoir besoin pour nourrir nos réflexions. 

`Par exemple, on va avoir besoin de l’outil pour calculer les surfaces qui sont disponibles dans les ZA d’un secteur d’une commune précise ou au sein même d’une ZA. On va avoir besoin de cet outil pour mesurer le prix moyen au mètre carré dans un secteur, par typologie de ZA, on va également en avoir besoin pour mesurer l’attractivité et le rythme de commercialisation des ZA.

En conclusion ?

Thomas Pouedras : En conclusion les données fournies par l’observatoire du foncier nous permettent d’objectiver notre besoin de foncier économique.

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Avec son panneau d’analyse, Sobrizh permet à tous les utilisateurs de la solution de consulter facilement l’entièreté des données de leur patrimoine immobilier (bâtiments et équipements). Ils peuvent ainsi repérer les anomalies et mettre en place des actions correctives. 

Grâce à Sobrizh, vous pouvez facilement développer une meilleure compréhension énergétique de votre parc. Vous pourrez ainsi mener des actions correctives pour atteindre vos objectifs de sobriété.

L’application est en bêta-test dans la ville de Cournon-d’Auvergne depuis septembre 2021.

Marion Gasq, référente financière énergie et Bertrand Cormerais, Responsable service Patrimoine  ont partagé avec nous leurs premiers retours d’expérience.

Cournon-d’Auvergne est une ville de 20 000 habitants qui se situe dans le Puy de Dôme, à côté de Clermont-Ferrand. La ville possède 80 points de livraisons (dont 70 avec des PRM pour l’électricité, et 40 avec des PCE pour le gaz de ville).

Pour la ville de Cournon-d’Auvergne, le suivi énergétique a pour but de connaître finement les consommations de leur patrimoine afin de les analyser d’un point de vue énergétique (kw/h) financier (euros) et environnemental (CO2).

Les usages de Sobrizh par Cournon-d’Auvergne

Grâce à l’application Sobrizh, ce suivi leur permet de connaître et comprendre leurs consommations énergétiques, en temps réel, heure par heure (ou plus précisément, selon le modèle de compteur).

Suivre finement ces consommations énergétiques permet de veiller aux dérives : on peut instantanément repérer si un bâtiment consomme plus que la normale, grâce à notamment un système d’alerte.

On peut aussi analyser les impacts des eco-gestes dès le lendemain de leur mise en place.

Sobrizh permet aussi à Cournon-d’Auvergne d’aider à la décision pour la mise en œuvre de travaux. Grâce à cet outil ils peuvent établir des pistes, (changement de radiateur, isolation à revoir…) et suivre les résultats des actions après travaux.

L’outil permet aussi de communiquer sur les changements et travaux effectués suite aux anomalies repérées grâce à ses représentations graphiques des courbes d’énergie.

À Cournon-d’Auvergne, 40 points de livraison sont équipés d’un outil de télégestion. Mettre cet outil en relation avec Sobrizh permet d’adapter rapidement les courbes de chaleur, et ainsi être beaucoup plus réactif qu’en agissant en fin de mois la réception des factures d’énergie.

Cas pratique de l’utilisation de Sobrizh par Cournon-d’Auvergne

Zone de loisirs

En premier lieu, l’équipe a travaillé sur le point de livraison le plus énergivore, celui de la zone de loisirs. Le PDL regroupe de nombreux équipements et bâtiments. Les consommations de ce site sont élevées avec plus de 2000kwh par jour. En réalisant une coupure de certains équipements du site le 26 octobre, ils ont noté que le site était à un niveau de consommation historiquement bas (environ 1000kwh).

Grâce à Sobrizh et son suivi de consommation, ils ont pu comprendre les consommations individuelles des équipements électriques et ont ensuite mis en place un programmateur pour optimiser la gestion de ces équipements. Ils estiment que cette opération leur permettra de réaliser une économie de 15 % sur le site.

Salle municipale, salle associative

Grâce à Sobrizh, il a été aisé de se rendre compte que dans une salle qui n’était utilisée que 3 jours par semaine, le radiateur restait allumé. Une nouvelle fois, la mise en place d’un programmateur a suffit à réaliser des économies d’énergie.

Il est aussi possible de contrôler l’occupation réelle d’une salle en comparant l’activité sur l’application au planning de réservation.

Malgré les outils de télégestion, l’équipe de Cournon-d’Auvergne s’est rendu compte, notamment grâce à la Heatmap de Sobrizh qu’un équipement d’un complexe sportif restait allumé. Il a fallu désactiver l’allumage forcé de l’équipement en question.

Installation de panneaux photovoltaïque

L’outil a aussi permis de comparer la production d’énergie solaire sur un site aux dépenses énergétiques réelles. L’énergie produite par les panneaux photovoltaïques était entièrement consommée par le site en question.

Il a aussi été possible d’estimer le bien fondé de futures installations de panneaux photovoltaïque en calculant l’énergie nécessaire à produire pour le fonctionnement d’un site. Cournon-d’Auvergne est une ville qui développe de plus en plus de projets d’autoconsommation solaire (consommer une énergie que l’on a soi-même produite). Grâce à l’application, ces futurs projets sont confortés ou non en amont d’une installation d’un équipement solaire.

Sobrizh, pour votre commune ou collectivité

On le voit, le suivi des consommations est un des outils essentiels pour mener des actions de sobriété.

Il doit être rendu accessible au plus grand nombre, ce que Sobrizh apporte par sa simplicité d’usage et de fonctionnement.

La période hivernale dans laquelle nous rentrons oblige chacun à limiter ses consommations pour assurer la résilience du réseau électrique.

Sobrizh peut vous aider à faire très rapidement les bons choix en identifiant les ecogestes que vous pouvez mener en cas d’alerte Ecowatt.

N’hésitez pas à nous contacter à contact@eegle.io.

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Dans une période marquée par l’intensification du changement climatique et le conflit en Ukraine, il est aujourd’hui important d’amorcer au plus vite une transition énergétique en France. C’est un défi à relever pour tous les français et qu’il est possible d’atteindre si chacun se responsabilise.

Aujourd’hui ce défi ne pourra pas être accompli sans un plan de sobriété énergétique. Le premier objectif de ce plan annoncé par le gouvernement vise à réduire la consommation d’énergie des entreprises et des collectivités de 10% en 2 ans (la référence étant l’année 2019). 

Mais qu’est ce que ce plan de sobriété énergétique ? Et comment l’appréhender dans son entreprise, ou dans la collectivité que l’on représente ?

Qu’est ce que la sobriété énergétique ?

La sobriété énergétique est la réduction des consommations d’énergie par des changements sociaux et sociétaux. Que l’on soit professionnel ou particulier, la sobriété énergétique est une modification de nos habitudes de consommation. En engageant un processus de sobriété énergétique, on peut contribuer à notre échelle  à réduire les effets néfastes du changement climatique.

Cela passe notamment par le choix d’équipements moins énergivores, ou par une réflexion sur la manière dont on consomme l’énergie disponible. 

En effet, pour comprendre la notion de sobriété énergétique, il faut appréhender nos ressources énergétiques comme des stocks en quantité définie et limitée qu’il faudrait apprendre à mieux gérer. 

La quantité limitée des réserves d’énergie et notre dépendance à des ressources étrangères fait qu’aujourd’hui, il est inéluctable d’entrer dans une ère de sobriété énergétique. On peut notamment citer l’ingénieur, conférencier Jean-Marc Jancovici, spécialiste de la question du réchauffement climatique, pour qui la sobriété énergétique n’est pas une option.

Il estime qu’on y sera forcément confronté. Mais avec son collectif The Shift Project, ils ont décidé de piloter cette transition vers la sobriété énergétique pour éviter de la subir. Avec en tête un objectif, réduire les consommations en énergie et par conséquent, les émissions de gaz à effet de serre tout en pérennisant notre civilisation industrielle.

Le plan de sobriété énergétique

C’est donc dans ce contexte d’urgence climatique et énergétique que le gouvernement a annoncé son plan de sobriété énergétique. Il vient accompagner le décret tertiaire qui demandait déjà aux propriétaires de bâtiments de plus de 1000m2 de réduire drastiquement leurs consommations énergétiques dans les prochaines années.

Les objectifs affichés de ce plan de sobriété sont : réduire de 10% la consommation énergétique des français (particuliers, collectivités et entreprises) en 2 ans, puis de 40% à l’horizon 2050,  et stopper la dépendance française aux énergies fossiles.

Le secteur public et les entreprises sont donc les premiers concernés par ce plan du gouvernement. Il faut donc réfléchir à des mesures pour rapidement réduire les consommations de sa collectivité ou de son entreprise.

Quelles solutions pour atteindre la sobriété énergétique ?

Il existe, heureusement, de nombreuses solutions pour réduire sa consommation énergétique. 

En réduisant d’un degré la température du chauffage, on réalise des économies d’énergie de 7%. 

Lors de la construction d’un nouveau bâtiment, en choisissant une bonne isolation, on peut économiser jusqu’à 30% sur sa future facture énergétique.

Choisir un éclairage au LED garantit un éclairage durable et moins énergivore. En effet, leur durée de vie est supérieure 20 fois à celle des éclairages halogènes.

On peut aussi citer l’université de Strasbourg qui  à elle mis en place deux semaines de cours en distanciel après les vacances de Noël et de février pour réaliser des économies d’énergie.

Certaines communes ont aussi choisi de fermer les piscines municipales certains jours d’hiver.

Suivre sa consommation énergétique, le premier geste

Il faut aussi bien évidemment surveiller de près sa consommation énergétique. En suivant régulièrement ses dépenses, on peut repérer une anomalie sur notre réseau et le corriger. L’Ademe estime qu’on peut réduire de 10% nos dépenses énergétiques en suivant précisément sa consommation.

Pourtant, lorsque l’on gère un parc qui possède plusieurs dizaines, voir centaines de compteurs, il est difficile de s’y retrouver. 

Le nombre de données générées par un compteur est élevé (à raison d’un enregistrement toutes les 5 minutes pour certains modèles) alors, la gestion d’un parc entier peut parfois être un réel casse-tête.

Notre solution Sobrizh

Pour vous accompagner dans le suivi de vos données énergétiques, et l’amélioration de vos performances, EEGLE a développé Sobrizh. 

Avec son panneau d’analyse, Sobrizh permet à tous les utilisateurs de la solution de consulter facilement l’entièreté des données de leurs patrimoines énergétiques. Ils peuvent ainsi repérer les anomalies et mettre en place des actions correctives. 

Si vous aussi vous êtes intéressé par Sobrizh, découvrez en plus et contactez-nous à contact@eegle

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